La propriété est située le long du Corso Vittorio Emanuele et se compose d'un local de stockage au rez-de-chaussée ; cuisine avec balcon et salon avec balcon donnant sur le cours au premier étage ; petite chambre avec balcon, chambre matrimoniale avec balcon et WC au deuxième étage ; débarras et terrasse panoramique au troisième étage.
Bien avec un grand potentiel, très pratique en raison de son emplacement central, coin détente en plein air sur la terrasse, entrepôt.
Superficie : 91 m² cadastraux, local de stockage 34 m² cadastraux,
Classe énergétique : G
Services : eau, électricité, gaz naturel
Prix : 42 000 Eu. négociables pour l'habitation et le magasin en dessous
Distances : emplacement au centre du village ; 2h45 de l'aéroport de Rome ; 45 minutes de l'aéroport de Pescara ; 10 minutes de la mer Adriatique ; 1h15 de la station de ski Passo Lanciano
Les origines du pays sont très anciennes : il fut d'abord un avant-poste frentano, puis une colonie romaine. Selon certaines sources, il était déjà habité à l'époque romaine. La première mention, cependant, est documentée en 1087, lorsqu'il apparaît parmi les sept châteaux faisant l'objet d'une transaction entre le monastère de San Giovanni in Venere, qui le reçoit, et le diocèse de Chieti, qui le cède ; à la fin du XIIe siècle, il est mentionné comme Palletum et Castrum Palletae, termes dérivant de palea (type de fourrage et/ou légumineuses) ou de pagliara (maison en argile, comme les maisons du premier noyau du pays, dont les habitants furent dispersés par les incursions des Sarrazins). Du siècle suivant, il reste les murs, dont certains donjons, l'arc brisé de la porte d'accès et le clocher, puis, de 1312 à 1533, le pays appartenait à Lanciano, comme don de Charles V à Rodorico Arripalda. Par la suite, de 1577 à l'extinction des fiefs, il appartenait à la famille Mormile-Pignatelli. Le pays a participé aux mouvements de l'Unité d'Italie avec Giuseppe Tretta qui était un major garibaldien. Il subit l'occupation des troupes allemandes d'abord et de celles anglaises ensuite, mais sans subir de dommages bien qu'il soit situé le long du tracé de la Ligne Gustav (seconde guerre mondiale).
Symboles : Le blason et le gonfalon de la commune de Paglieta ont été accordés par décret du président de la République du 14 avril 1980. Le blason peut être blasonné : d'azur, aux cinq épis de blé, tenus, d'or, liés de rouge, surmontés d'une couronne à l'antique d'or. Le gonfalon est un drapeau parti de jaune et de rouge.
Monuments et lieux d'intérêt
Église de San Canziano : Du XIIe siècle, remaniée au XIXe siècle. Elle a été presque complètement reconstruite après la seconde guerre mondiale, dans un style pseudo-classique. Elle a un plan rectangulaire à pignon avec un accès précédé d'un portique à trois arcs. L'intérieur très simple est à nef unique.
Église de San Rocco : Du XVIe siècle, elle est sur le Corso Garibaldi, avec des remaniements du XIXe siècle. Pendant la seconde guerre mondiale, elle a été utilisée comme écurie et arsenal de guerre. L'église a été construite au XVIe siècle.
Église de Santa Maria Assunta in cielo : Du XVIe siècle. Elle est située Via Capocroce, à l'intérieur du bourg médiéval, et est l'église paroissiale.
Église de San Vincenzo Ferrer et Sant'Egidio Abate : Achevée et inaugurée en 2004, fleurons de l'époque du curé Don Loreto Grossi et de la générosité des citoyens des contrées environnantes. L'église est en béton armé, de style moderne, mais conserve des aspects classiques de l'implantation rectangulaire à nef unique, avec une façade à pignon. Elle se trouve dans la contrade à la vallée de Sant'Egidio, à proximité de la route nationale Frentana.
Architectures civiles
Château : Il était la propriété de l'abbaye de San Giovanni in Venere. Ce n'est pas un véritable château, mais plutôt le périmètre muré...
